La lutte contre les énergies fossiles est vitale, mais l’hydrogène
peut être vue comme une énergie intermédiaire : L’hydrogène recrée du CO2 en
roulant, et juste de l’eau. Il est facile à recharger (non pas le moteur à
fusion nucléaire de Retour vers le Futur, comme aiment à nous expliquer les
journalistes quand on leur parle d’hydrogène).
On a voulu s’en éloigner alors que le CO2, en ville, tous les
humains en rejettent aussi, ça ne fait rien. Il n’y a aucun rapport entre le CO2
et la bulle de chaleur des villes. On confond les pollutions. Il existe des bus
à gaz qui ne rejettent que de l’eau et du CO2, c’est donc un gaz de carbone et
d’hydrogène comme il faudrait générer avec l’électrolyse, de l’éthanol. Y a-t-il
un moyen d’en produire à partir d’hydrogène et de carbone
distincts ?
Les voitures qui explosent, ce n’est pas dans les films américains,
c’est dans Cobra en Allemagne et aussi les voitures à hydrogène. C’est là où les
autorités auraient dû investir. Et des parkings sécurisés, car si on n’en veut
pas, c’est aussi que les parkings souterrains l’interdisent, travaillons par
exemple ce sujet. Je crois que le gaz de ces bus, l’éthanol, est beaucoup moins
explosif que l’hydrogène pur. Qu’en est-il dans ce cas pour la
voiture ?
Il s’agit de la générer par électrolyse, qui libère de l’oxygène et
génère de l’hydrogène, il y a de 10% à 20% de perte d’énergie lors de la
transformation selon plusieurs articles d’Internet, est-ce vraiment beaucoup,
puis le convertir en éthanol. Comme l’électricité, ce serait une énergie
intermédiaire, réalisée à partir d’une autre énergie, qui au moins permet de ne
rejeter rien de négatif en ville. Et, pourquoi pas, le générer à partir d’une
énergie de base non fossile. A noter, on entend en ce moment parler d’une
voiture à hydrogène chez Toyota, qui construit ses voitures beaucoup en
France.
La voiture électrique a tellement de défauts qui ne seront
forcément jamais résolus que la solution n’est pas là. J’ai lu dans Science
& Vie une étude connue qui indique que les voitures diesel récentes émettent
presque autant de particules fines que les voitures à essence, le pot
catalytique était ce qui a été inventé pour lutter contre elles, et ça marche
bien.
Si on augmente le prix du diesel, seuls les suiveurs iront
s’acheter une voiture électrique, qui ne marche qu’en ville, dont les batteries
s’usent vite et coutent très cher. Les enfants doivent-ils dormir dans la
voiture pendant qu’elle se recharge ? Renault va rembourser l’hôtel ?
Ce sera la voiture de Madame la voiture à essence ? Au contraire d’une
batterie normale à l’acide, l’acide étant un composant qu’on trouve partout,
puisque tous les produits qu’on trouve dans le monde sont soit acides, soit
basiques, une batterie de voiture complètement électrique est très polluante. Et
on n’inventera jamais la machine perpétuelle, l’électricité vient de quelque
part.
Au contraire, le CO2 n’a pas besoin d’être déporté hors des villes.
C’est la chaleur et les polluants qui font la pollution des villes, le CO2, il y
en a déjà 1/3 dans l’air, partout, c’est comme l’eau qui ne s’use pas d’une
année sur l’autre, le CO2 ne pollue que l’oxygène de l’ensemble de la planète
globalement, à ce que je sache, c’est à cause de lui que Mars est si froid. Oui,
ça, lui, on peut dire que c’est de l’écologie de planète, mais pas de la
ville.
Essayons de développer ou bien les transports en voiture
automatique, afin de réaliser des containers à personne, de quoi faire en sorte
que les voitures se rechargent automatiquement, seules, ou la location de
batteries automatiquement amovibles et
protégées.
Ou de baisser le prix de l’essence, ou plutôt de transférer les
taxes afin de contrôler plutôt les achats de voiture, pas en faisant payer
pendant des années des personnes pauvres qui viennent déjà de s’acheter une
voiture ou un tracteur, beaucoup de tracteurs sont à Diesel, ce qui déportera au
contraire le moment où ils pourront s’en racheter. Et chacun connaît plusieurs
de ces arguments massue.
Les provinciaux (je laisse tomber l’expression « les gilets
jaunes »), sont fâchés parce que d’un côté on les taxe, et de
l’autre…
…
On parle de fermer des gares (alors le bus, mais la SNCF vient de revendre sa
ligne de bus, ça aurait pourtant été intéressant les billets communs train-bus
avec sa super-application, qu’ont rejeté les parlementaires pour la concurrence
train-train). Et les bus sont pris dans les bouchons de certaines villes (faire
des gares-gares relais de centre-ville ?)
…
L’état n’a pas stoppé à temps un système communiste de numérus clausus de
docteurs, qui comme tout système communiste, est plus lourd que le naturel. Il
faut aller chercher loin de chez soi le docteur, en voiture, en train, en bus,
toutes les villes n’ont pas encore mis en place les points polyvalents, la
télémédecine n’existe pas vraiment pour l’instant, la Poste cherche à fermer des
bureaux de poste, les petits commerces
partent…
…
Pareil pour l’école, le lycée, la piscine, la librairie, le restaurant, le
cinéma, la fête, la proximité des amis, se faire des contacts, chaque
docteur, l’hôpital à la limite.
…
Tout ceci n’est que dépense supplémentaire en essence pour cause d’absence de
lutte efficace contre les causes de cette dépense ; ça
choque.
…
Et pour le télétravail, la télémédecine, le télé-internet, il n’y en a pas des
masses dans les campagnes qui aient forcément à la fois la 4G et une box… A
cette époque où on leur dit que tout est numérique, où on leur dit que c’est
même le danger, à l’époque où on ne peut pas s’en
passer.
…
Pourtant, ce serait là la véritable source de la résolution épisodique fréquente
d’une majorité de nécessité de se déplacer, ou de participer à la vie nationale.
Ce serait là le véritable outil pour se sentir visible, pour ne pas être
seul.
Les
agriculteurs ne s’en sortaient plus, le reste des provinciaux étaient à la
limite aussi, pour peu d’avoir besoin de deux voitures, ou ayant un chômeur à
charge… Même à Paris, le SMIC ne suffit
pas.