sans titre 1
Cette lettre pour fournir une idée parmi celles qui me semblent
les plus primordiales en ce moment, non proposée par Emmanuel Macron, concernant
le travail et le salaire.
Cet apport est uniquement dans un but altruiste, dans le cadre
de ma compétence reconnue en logique et en suggestions, et hors du cadre d’une
mission que je mène, hé oui, avec Dieu. On peut considérer par contre qu’il y a
un léger lien avec mon inscription à En Marche.
Un point serait le bienvenu, ce serait un SMIC de très grande
ville et de leur banlieue. Parmi les 1 à 4 grandes villes. En France, quand on a
un travail, on peut considérer qu’on a une vie décente, au moins à l’heure de
paye, grâce au SMIC. Il y a quelques contre-exemples, particulièrement le fait
que le SMIC ne permette pas d’avoir une vie décente quand il faut se loger à
Paris. Pourtant, les entreprises parisiennes ont davantage de quoi payer que
celles de province. On ne manque pas d’emploi à Paris. Il y a d’ailleurs déjà un
salaire moyen plus élevé. Il y a pénurie de logements. Il faudrait adapter la
cherté de la ville au SMIC. Il devrait y avoir des effets de bord, comme une
augmentation des prix du loyer, qui ne devraient pas être intenses. Cela
permettra aussi de désengorger les grandes villes. On se plaint que la France
tourne uniquement autour de Paris et des grandes villes, au contraire de
l’Allemagne par exemple. Certains demandent à augmenter le SMIC. Peut-être
est-ce des citadins ? S’il y a moyen de faire remonter le panier de la ménagère
sans pénaliser les entreprises, c’est en le faisant là où les entreprises ne
seraient pas gênées. Les entreprises de ville vont bien.
A remarquer la qualité des embauches en informatique menées par
les chasseurs de tête, qui prennent une petite somme à l’embauche, ou une petite
somme permanente sur les indépendants. Ils mènent leurs recherches de façon
autonome, ils approchent les candidats par eux-mêmes, mais ce serait une idée de
promouvoir aussi ce système pour les emplois non pourvus.
Il faut aussi encore intensifier le rapprochement des élèves
des postes à pourvoir, afin de leur faire comprendre que si une filière comporte
peu de places, c’est parce qu’il n’y aura jamais assez de débouchés pour tout le
monde. Une idée serait de faire un parrainage sans recherche d’adéquation de
poste 1 élève – 1 travailleur, dans le but de faire connaître le travail, plus
que l’élève fasse connaître ses études, et parle de ses choix.
Note sur l’une de vos mesures :
Le retour au travail est difficile. Les banlieues manquent
elles-mêmes d’emploi. Mais s’il y a rejet partial par les entreprises, ce n’est
pas de cette nature diversifiée dont ils ont peur, c’est fini depuis si
longtemps que nombre de recruteurs sont issus de la diversité, en région
parisienne. Ils continuent à avoir peur. Ils ont peur de ces jeunes de banlieue,
qui viendraient chiper le colis Amazon qu’ils livrent ou serrer la main du bras
articulé de Renault. Et ils ont raison. Ils ont tort en même temps. Car les
jeunes de banlieue ont une haute estime de Spoke et de sa logique paradoxale.
Ils ont leurs qualités et leurs défauts, et c’est en se tenant un minimum dans
les rangs qu’avec les emplois francs, en conservant les caractéristiques
efficaces, un vent frais va pouvoir se lever et relancer l’usine à jeunes, par
une aide à l’embauche des jeunes issus des zones franches. C’est le grand point
de blocage, une simple peur d’affronter les bassins à remous, c’est loin d’être
insurmontable pour les professionnels, cette mesure devrait facilement inverser
un simple problème de balance à distorsion unilatérale.
Vous pouvez aussi consulter mes (peu nombreux) envois
précédents sur mon blog politique (voir lien plus haut), et préférer la version
Kindle de mes livres quand je vous en envoie physiquement. Evitez les version
iBook (trop peu d’accords) ou Kobo (n’acceptent que les 45 premiers titres de
chapitre dans le sommaire).