sans titre 1
Le gouvernement a décidé de remettre à plat la
constitution. Je voudrais signaler
qu’il manque des pierres de base à la constitution :
Je vous ai envoyé une première version de cette lettre en juillet.
Ci-joint la version 3, finalisée.
Vous pouvez aussi consulter mes envois précédents sur mon blog
politique (voir lien plus haut), et préférer la version Kindle de mes livres
quand je vous en envoie physiquement.
Les lois sont définies à la base avec
logique
Afin de résoudre des problèmes citoyens à leur point de définition,
problèmes qu’on a détecté récurrents, solutions qu’on a estimé suffisantes, sans
presque de détours possibles, caractérisations qu’on a estimé englobant
parfaitement le cas auquel la loi s’adresse. Le taux de tolérance des copeaux de
segmentation, d’imprécision, de sur-précision ou de cas particulier a été estimé
heureux.
La logique est la mécanique des principes. La mécanique d’un principe
est un autre ensemble de principes. Ils existent à part entière, dans l’univers
mathématique des abstractions, mais doivent être interprétés et vérifiés pour
être des principes scientifiques.
Cette vérification est sujette à erreur, particulièrement dans les
domaines ou l’épistémologie, la science de la science, ne peut être directement
appliquée, et où alors des sciences imparfaitement démontrées prennent le pas,
légitimement.
Par conséquent, la logique interprétée et la vertu ne seront jamais
meilleure conseillères qu’une loi. Mais il est des cas exceptionnels où l’on
peut la déterminer meilleure conseillère :
·
Pendant le vote, les lois illogiques devraient être mises en exergue, avec
démonstration.
·
Une
loi dans une jurisprudence pour laquelle un tribunal aurait spécifié une
démonstration reconnue et qui marche qui indiquerait qu’elle génère un
comportement contre la logique qui l’aurait initiée. Donc, la logique qui
l’aurait initiée reste à démontrer aussi, en tant que logique source à priori
sure, ou à noter désormais dans les lois en commentaire supplémentaire. Et
permettrait dans les jugements de se baser non seulement sur la loi, mais sur sa
logique aussi, de façon accessoire, mais non superficielle, une fois la
jurisprudence acceptée par le parlement, et peut-être revue dans la loi. La
logique source serait acceptée par déduction quand elle n’est pas décrite dans
la loi. Une jurisprudence qui met en cause la loi doit être au plus vite traitée
par le parlement, peut-être avant de valider le jugement, qui peut être mis en
attente.
·
Et de
se dire qu’une loi peut se retrouver mal adaptée quand les hypothèses de base à
la logique changent, ou ne pouvaient être déterminés à l’époque.
Doit figurer à une gestion sage
quelque part en France la recherche et l’entrepôt des solutions récurrentes en
réflexions humaines
Dont font partie les éléments stables des productions harmonieuses
généralisées.
Dont font partie la recherche dans leurs moyens de transmission.
Il est de nature constitutionnelle aux responsables humains d’avoir
toujours en cours de gestion pour la postérité, suivant un flux continu qui
permet de répartir sur le temps, le coût de ces recherches fondamentales
universelles, utiles indéfiniment, dont bénéficieront particulièrement nos
futurs citoyens de la Terre.
Ce n’est pas par hasard que mes Dieux a pour mission particulièrement
ceci. C’est parmi les briques les plus fondamentales de la société prise dans
son ensemble, c’est assez évident, mais ça se démontre aussi, et je l’ai
démontré dans mes livres.
Dans le même principe, il est de nature primordial que les états les
plus intellectuels, les plus sages, les plus humains, réalisent cette tâche
aussi pour les autres états.
Savoir faire face à face à son analyse
sage, valide et validée, ou qui reste à faire
La sagesse est une analyse logique du fort à démontrer dans les
domaines de la réflexion humaine, où figurent la logique, les principes,
l’esprit, sans hésiter à aborder les sciences, les statistiques, les paramètres,
les abords, en faisant face aux sujets eux-mêmes d’abord, et sans se perdre dans
le scientifisme. Ce qui en fait une facette de la philosophie. L’évolution et
l’aboutissement de son plan de projet permet ensuite, ou en attente de mise à
niveau, de faire aboutir les analyses du domaine, comme une couverture qui ne
bouge pas de trop, concernant ces domaines. Peut-être une science, mais sans
être du scientifique même.
On peut considérer qu’une telle analyse part d’une question de base en
projet d’arbre argumentaire qui répond à toutes les questions de base, et les
sous-questions liées, où on doit y voir les questions avant-gardistes toujours
conservées résolues.
Régulièrement, elle sera face à elle-même, où, des notions qu’elle
déploie, elle se rendra compte que des arguments avantageux de nouvelles
acceptations viendront remettre en cause des pans complets, pour réaffirmer sur
une meilleure orientation du chemin pris. Ce comportement retors qui la retourne
sur elle-même, j’y appelle les notions qui le provoquent la Sagesse Profonde. Ce
peut-être aussi une remise en cause du comportement purement sage, par exemple
porter directement les commentaires de sagesse à tout le monde sans interface de
retenue, de coloration, de limitation, d’adaptation, de renégociation dite et
entendue, comme donc affranchie… Jusqu’à mettre un terme face à une organisation
qui ne veut y comprendre, par exemple, et disposer des solutions autres,
toujours sages au regard de celui qui les porte notamment de base.
Normalement, un responsable, une organisation responsable, l’état, la
loi, la sagesse elle-même, et même la constitution, face à l’absolu de la
sagesse, bien décrite, et qui sait toujours bien se remettre en cause pour bien
parvenir à sa conclusion où toutes les mentions réellement redevables seraient
prises en compte d’une manière ou d’une autre valable, qui si elles sont justes
devraient avoir leur place à tenir sur une branche donc logique, toute
responsabilité devrait savoir se tenir sur les marches réelles de la sagesse.
Il n’est pas hors d’œuvre à ses heures de créer la bonne fondation qui
sait la sagesse, mais n’est pas qui veut le premier à pouvoir se tenir ce numéro
sans se tromper. Pour ensuite jouer des inclusions de face à face pour pousser
les garanties en promotion de l’honnêteté, d’abord, de la confiance, de la
justice, et de l’incroyable renouveau qu’on pourrait tirer de ses déductions
interstitielles en interne.
Il peut être établi que les nécessités faisant loi, la loi de
l’expression se veut une forme subtile de se montrer au-delà du mur de
l’entendement, pour bien montrer les choses, là où on ne s’entend plus, pour
bien montrer ce qui marque dans le paysage de montrer, que le solde de montrer
est toujours positif, ou au mieux positif, et pour ce, doivent au moins se
savoir garants les garages ainsi prononcés subtilement, tels que la logique, la
sagesse, la reformulation pour mieux y voir, y trouver des formes bénéfiques
transversales pour tous malgré la mauvaise entente, la formulation sous d’autres
courbes pour y voir plus graphique, plus figuratif, à l’entendement-même est une
chose où peut apparaître la confiance, et de ces barrières qui renaissent, peut
apparaître des formes de discussions qui savent renouveler la prise à part, la
prise à parti, pour faire à partir de, et réengranger les gains de la véritable
sagesse, une fois de plus, pour regagner la bonne entente sur de nouveau
terrains d’entente, pour peu d’y être de bonne foi.
Universalité des droits
Il faudrait une justice acceptant (si la plaidoirie est bien faite) de
prendre en compte le but des lois plutôt que les lois elles-mêmes. Par
conséquent, il faut que les lois intègrent une référence aux fondements ultimes,
des explications, des buts, des conseils, et les raisons qui font que suivre la
loi plutôt que la logique est recommandé, en faisant par exemple appel aux
arguments de fixation, de segmentation pour éviter les niches préférentielles,
pour créer des paliers, pour répartir, arguments de simplification recommandée,
d'égalité, de stratégie... Ainsi que la configuration de la loi : Théorique,
générale, floue, incertaine, probable, injuste... On pourrait aussi définir des
lois paramétrées, comme les lois de programmation. Cela reste logique.
La justice améliore les possibilités de résolution des buts des êtres
qui se sont unis pour la créer. Elle tente de partager l’étendue disponible
équitablement (principe de liberté et d’égalité.) Elle tente de respecter la
logique de ces êtres, et si possible sous la bannière des logiques plus
universelles que soutient tout être. La justice est sporadique et insuffisamment
parfaite.
Un être devra aussi se protéger en partageant la philosophie
fondamentale qu’il aura découverte et sa possible démonstration, et il a le
droit fondamental de combattre les êtres qui ne respectent pas cette digue des
digues en s’unissant avec les êtres qui auront compris la nécessité de
l’imposition de cette logique. Le pire, donc l’objet de la philosophie
fondamentale, ce sont des preuves trop cruelles d’action contre la cohérence
clé, la justice, la générosité.
Gérer absolument le feed-back des
blocages ultimes du distant
Tout événement qui survient et qui occasionne imparablement un fait
imparablement contraire au but de sa source qui est de nature à jouer sur la loi
ou contraire à la constitution doit obligatoirement générer son traitement, sans
hésitation, sans maladresse, dans l’ordre des instances, sans limite d’instance.
Particulièrement s’il modifie de façon insoupçonnée ou invisible ou
non-dit le comportement des parlementaires, ou leurs possibilités réelles en
matière de jugement, ou de jugement abouti.
Au mieux, tout événement qui survient et qui occasionne imparablement
l’abolition d’un principe, naturel, d’état, sa reconnaissance scientifique ou
morale, sa prise en compte, doit voir résoudre le paradoxe interpellé, jusqu’à
résolution, sans limite d’instance.
C’est aussi le cas pour les systèmes conçus non perceptibles dans
l’univers courant, qui doivent pouvoir réaliser un feed-back envers les
environnements concernés, sources ou pris à parti, peut-être en devenir
davantage à l’identique pour bon fonctionnement. Ce feed-back doit être reconnu,
reconnu tel quel, avec un protocole de reconnaissance inconnu au départ mais qui
ne manquera pas d’être signalé et réalisé par les auteurs du feed-back. Il doit
pouvoir être pris en compte, pris en compte, pris à disposition, pour ensuite
passer à un protocole d’une résolution interactive ou une communication d’une
transformation nécessaire.
La démonstration de ce qu’il rapporte ne pourra pas toujours être
réalisée au mieux, il est nécessaire de tenir compte de cette imperfection sans
en faire tout un état. Il est intéressant alors de se servir de la confiance
telle qu’elle s’est installée comme d’un levier qui présume de la confiance
totale possible.
Tels l’avenir lointain, ou les rapports d’extraterrestres, ou d’êtres
générés pour nous aider, ou de Dieu, et la reconnaissance qui peut peu à peu
s’établir, plus ou moins.
Préparer la cohérence de la loi pour
faire face à des séismes intellectuels potentiels
Telles des manœuvres et modalités de cohésion de la loi et des
principes lors d’une rencontre hypothétique mais probable avec un être
d’intelligence supérieure ou en mal de pouvoir se définir précisément, à
l’identique d’elle-même, faisant peut-être face à des risques pour elle, pour
nous, ou des dépassements de capacités, et définir la logique, l’état des lieux,
et les comportements qui nous gouvernent alors réellement, logique intrinsèque
mais qui reste à formaliser, formuler.
Telles des revendications de logique inattendues de territoires
spirituels, des requêtes de manœuvres nécessaires, de nouvelles possibilités de
détermination, de nouvelles sciences, de nouvelles sciences de l’intelligence,
ou autres volontariats désignés.
Personnellement, pour cela, je propose la constitution des rapports
hommes-Dieux décrit dans mon livre Guide de l’Utilité, le pire rebaptisé
Exceptionnel.
La préservation des sources uniques de
développement
Une source unique de développement déclarée comme telle doit voir se
mettre en place un plan de rétention dans l’environnement naturel.
C’est le cas pour les personnes qui savent soulever une problématique
de façon unique.
C’est aussi le cas pour les ensembles déterminables déclarables comme
source unique.
C’est le cas aussi pour certains petits groupes qui préservent des
techniques non reconnues ou non acceptées.
Ovation constitutionnelle à Dieu
implicite détecté dans les récentes modifications de la constitution
Fragilisés par la peur de l’agressivité, en voulant éliminer tout
racisme au maximum, les députés ont failli inscrire le principe de racisme pour
la France dans la constitution. C’est l’exact sens de ce qui a été décidé
d’écrire, bien qu’il faille réfléchir un peu. Je vais expliquer.
L’ancien texte écrivait « La France ne reconnaît pas de race humaine
multiple. » Un parlementaire a émis un texte, je ne sais pas s’il a été intégré
: « La France ne reconnaît pas de ‘soi-disant’ race humaine multiple. » parce
qu’il voulait que s’il était établi que ces races n’existent pas, c’est un fait
scientifique cela dit, il fallait nier le principe scientifique de race. Et je
déduis que si on n’accepte pas le principe scientifique de race, cela signifie
qu’on n’accepte pas qu’il y ait des races entre les hommes, et donc, s’il
existait vraiment des races entre les hommes, la constitution insisterait sur un
principe de racisme de la France dans le sens où il ne faudrait pas plusieurs
races. Préfèreriez-vous éliminer la race des plus faibles ou la race des plus
forts, alors ?
(Je rappelle pendant ce temps qu’il y a bien plus de différences innées
entre des voisins qu’entre les moyennes des pays. Et qu’il y a bien plus de
différences acquises que de différences innées).
La phrase originale est parfaite, car elle insiste sur le fait qu’au
fond, ce qui est important, c’est qu’il n’y ait pas de discrimination. Et la
deuxième, que je critique, sur le fait qu’il faut absolument établir (afin qu’on
ne revienne plus jamais dessus) que toute différence entre deux hommes serait
une honte insurmontable, et que si on le reconnaît, on ira encore plus en
prison. Et que d’ailleurs, ne pas revenir dessus est l’une des choses les plus
importantes du monde et de la France. Et si on évoluait encore ??
La nation, le patriotisme, c’est l’amour des siens, tandis que le
nationalisme, l’établissement de barrières entre les appartenances, c’est la
haine des autres. C’est le monde de la réfraction et des agressivités,
autorités, interdictions. C’est le contraire du monde des réconciliations. Or,
c’est purement chercher à renier des gens qui font état de quelque chose qui
aurait pu exister. Chercher à renier totalement l’existence d’une famille, en
réalité qui peut exister, qui a existé, qui a été une étape 1000% nécessaire
(les hommes préhistoriques), et dont la disparition n’est pas expliquée par la
nécessité évidente, servira couramment de poids aux adversaires, à juste titre
logique. Si on veut les critiquer, il faut mettre en doute leur bonne foi ou
expliquer par la raison à la source leur perte de bon sens. Ce besoin de les
critiquer est-il d’ailleurs aussi éternel que la constitution ? Est-ce un
problème psychologique irrémédiable ? Encore heureux qu’on ne parle pas de
l’égalité entre les hommes en termes de « soi-disant » différence.
Un véritable principe, tel que décrit dans la première partie, est que
les différences innées, si on critiquait ce handicap, étant insurmontables, et
d’ailleurs parfois importantes, on ne serait pas altruiste, et on profiterait
sur le dos des autres de ce qui ne nous est pas dû (nos qualités supérieures),
on mettrait en cause la personne dans son intégralité, dans son identité, et on
ne pourrait pas être progressiste, contrairement au but de la critique. Enfin…
Dans quels cas une critique est-elle progressiste, et dans quels cas ne
l’est-elle pas ?
De plus, un handicap peut cadrer l’essentiel, cacher l’essentiel,
certains handicaps peuvent paradoxalement être exceptionnels dans certains
domaines, et à vouloir éliminer des formes de diversité, on élimine
régulièrement des phénomènes d’utilité exceptionnelle, qui, dans des cas alors
là extrêmement rares, peuvent sauver le monde. Dans la diversité se trouve
l’excentricité qui porte loin l’imagination des structures semi-cohérentes
possibles et souvent réutilisables. Des cohérences un peu sales.
Je viens de démontrer qu’en voulant nier l’existence possible de races,
la constitution est raciste. Une autre vision plus honorable existe, ce serait
qu’elle sous-entendrait qu’un principe imparable aurait égalisé l’homme en un
être à peu près uniforme.
Le seul principe connu à ce jour qui peut être à l’origine de cela est
Dieu, dont les religions affirment justement qu’il n’est pas pour rien dans
l’affaire, et on peut considérer que le comportement de préparer l’homme à vivre
sans grosses lacunes, sans grosses comparaisons inégalitaires, le rendre égal en
destinée, est un devoir que peut légitimement et logiquement se donner Dieu.
Et donc, dans cette seconde optique, seule autre sous-entendu possible
de cette modification de la constitution, la constitution remercie Dieu d’avoir
effectué son travail, donc affirme son existence, son devoir, son exécution, et
l’intègre comme base solidement intéressante à la législation française, qui
dans ce sens, reconnaît la conformité des religions dans leur logique à
l’intervention citoyenne et l’appui de l’état sur ce socle, qui donc ne devrait
pas remettre en cause les droits et devoirs logiques de Dieu à l’avenir.
Cette intervention propre et pratique de Dieu peut tout à fait bien ne
pas être niée, c’est bien un travail qu’on peut espérer de Dieu s’il existe à
partir d’une certaine capacité et assurance.
Bien sûr, il existe des formes de résistance bien plus nécessaires que
ceci. Mais cela rappelle qu’il faut beaucoup d’intelligence et beaucoup de
renvois de balle pour mettre au point les théories sur la sagesse, et que les
remises en cause sont de plus en plus difficiles.