Objet :
Analyse de manques constitutionnels à la constitution, lettre revue et
corrigée.
Le gouvernement a décidé de remettre à plat la constitution. Je voudrais signaler qu’il manque des
pierres de base à la constitution :
Les lois sont
définies à la base avec logique
Afin de résoudre des problèmes citoyens à leur point de
définition, problèmes qu’on a détecté récurrents, solutions qu’on a estimé
suffisantes, sans presque de détours possibles, caractérisations qu’on a estimé
englobant parfaitement le cas auquel la loi s’adresse. Le taux de tolérance des
copeaux de segmentation, d’imprécision, de surprécision ou de cas particulier a
été estimé heureux.
La logique est la mécanique des principes. La mécanique d’un
principe est un autre ensemble de principes. Ils existent à part entière, dans
l’univers mathématique des abstractions, mais doivent être interprétés et
vérifiés pour être des principes scientifiques.
Cette vérification est sujette à erreur, particulièrement dans
les domaines ou l’épistémologie, la science de la science, ne peut être
directement appliquée, et où alors des sciences imparfaitement démontrées
prennent le pas, légitimement.
Par conséquent, la logique interprétée et la vertu ne seront
jamais meilleure conseillères qu’une loi. Mais il est des cas exceptionnels où
l’on peut la déterminer meilleure conseillère :
·
Une mise en cause par un juge ou par le parlement de
l’estimation heureuse du taux de tolérance aux copeaux de la loi.
·
Pendant le vote, une loi qui ne suivrait pas la logique
démontrée. Ce qui permettrait de faire opposition lorsqu’on essaierait de créer
une loi pour le peuple, d’accord, mais qui serait emporté par un comportement
récurrent non logique, ou un comportement communautariste
extrémiste.
·
Une loi dont une démonstration indiquerait qu’elle génère
un comportement contre la logique qui l’aurait initiée. Qui reste à démontrer
aussi, ou à noter désormais dans les lois en commentaire supplémentaire. Et
permettrait dans les jugements de se baser non seulement sur la loi, mais sur sa
logique aussi, de façon accessoire. Par déduction quand elle n’est pas décrite
dans la loi.
·
Et de se dire qu’une loi peut se retrouver mal adaptée
quand les hypothèses de base à la logique changent, ou ne pouvaient être
déterminés à l’époque.
Gérer absolument
la recherche et l’entrepôt des solutions récurrentes en réflexions
humaines
Dont font partie les éléments stables des productions
harmonieuses généralisées.
Dont font partie la recherche dans leurs moyens de
transmission.
Il est de nature constitutionnelle aux responsables humains
d’avoir toujours en cours de gestion pour la postérité, suivant un flux continu
qui permet de répartir sur le temps, le coût de ces recherches fondamentales
universelles, utiles indéfiniment, dont bénéficieront particulièrement nos
futurs citoyens de la Terre.
Ce n’est pas par hasard que mon Dieu a pour mission
particulièrement ceci. C’est parmi les briques les plus fondamentales de la
société prise dans son ensemble, c’est assez évident, mais ça se démontre aussi,
et je l’ai démontré dans mes livres.
Dans le même principe, il est de nature primordial que les états
les plus intellectuels, les plus sages, les plus humains, réalisent cette tâche
aussi pour les autres états.
Gérer absolument
le feed-back des blocages ultimes du
distant
Tout événement qui survient et qui occasionne imparablement un
fait imparablement contraire au but de sa source ou contraire à la constitution
doit obligatoirement générer son traitement, sans hésitation, sans maladresse,
dans l’ordre des instances, sans limite d’instance.
Au mieux, tout événement qui survient et qui occasionne
imparablement l’abolition d’un principe doit voir résoudre le paradoxe
interpellé, jusqu’à résolution, sans limite d’instance.
C’est aussi le cas pour les systèmes conçus non perceptibles dans
l’univers courant, qui doivent pouvoir réaliser un feed-back envers les
environnements concernés, sources ou pris à parti, peut-être en devenir à
l’identique. Ce feed-back doit être reconnu, reconnu tel quel, avec un protocole
de reconnaissance inconnu au départ mais qui ne manquera pas d’être signalé et
réalisé par les auteurs du feed-back. Il doit pouvoir être pris en compte, pris
en compte, pris à disposition, pour ensuite passer à un protocole d’une
résolution interactive ou une communication d’une transformation
nécessaire.
La démonstration de ce qu’il rapporte ne pourra pas toujours être
réalisée au mieux, il est nécessaire de tenir compte de cette imperfection sans
en faire tout un état. Il est intéressant alors de se servir de la confiance
telle qu’elle s’est installée comme d’un levier qui présume de la confiance
total possible.
Tels l’avenir lointain, ou les rapports d’extraterrestres, ou
d’êtres générés pour nous aider, ou de Dieu.
Préparer la
cohérence de la loi pour faire face à des séismes intellectuels
potentiels
Telles des manœuvres et modalités de cohésion de la loi et des
principes lors d’une rencontre hypothétique mais probable avec un être
d’intelligence supérieure, et définir la logique, l’état des lieux, et les
comportements qui nous gouverneront alors, logique intrinsèque mais qui reste à
formaliser, formuler.
Telles des revendications de logique inattendues de territoires
spirituels, des requêtes de manœuvres nécessaires, de nouvelles possibilités de
détermination, de nouvelles sciences, de nouvelles sciences de l’intelligence,
ou autres volontariats désignés.
La préservation
des sources uniques de développement
Une source unique de développement déclarée comme telle doit voir
se mettre en place un plan de rétention dans l’environnement
naturel.
C’est le cas pour les personnes qui savent soulever une
problématique de façon unique.
C’est aussi le cas pour les ensembles déterminables déclarables
comme source unique.
C’est le cas aussi pour certains petits groupes qui préservent
des techniques non reconnues ou non acceptées.
Ovation
constitutionnelle à Dieu implicite détecté dans les récentes modifications de la
constitution
Fragilisés par la peur de l’agressivité, en voulant éliminer tout
racisme au maximum, les députés ont failli inscrire le principe de racisme pour
la France dans la constitution. C’est l’exact sens de ce qui a été décidé
d’écrire, bien qu’il faille réfléchir un peu. Je vais expliquer.
L’ancien texte écrivait « La France ne reconnaît pas de race
humaine multiple. » Un parlementaire a émis un texte, je ne sais pas s’il a été
intégré : « La France ne reconnaît pas de ‘soi-disant’ race humaine multiple. »
parce qu’il voulait que s’il était établi que ces races n’existent pas, c’est un
fait scientifique cela dit, il fallait nier le principe scientifique de race. Et
je déduis que si on n’accepte pas le principe scientifique de race, cela
signifie qu’on n’accepte pas qu’il y ait des races entre les hommes, et donc,
s’il existait vraiment des races entre les hommes, la constitution insisterait
sur un principe de racisme de la France dans le sens où il ne faudrait pas
plusieurs races. Préfèreriez-vous éliminer la race des plus faibles ou la race
des plus forts, alors ?
(Je rappelle pendant ce temps qu’il y a bien plus de différences
innées entre des voisins qu’entre les moyennes des pays. Et qu’il y a bien plus
de différences acquises que de différences innées).
La phrase originale est parfaite, car elle insiste sur le fait
qu’au fond, ce qui est important, c’est qu’il n’y ait pas de discrimination. Et
la deuxième, que je critique, sur le fait qu’il faut absolument établir (afin
qu’on ne revienne plus jamais dessus) que toute différence entre deux hommes
serait une honte insurmontable, et que si on le reconnaît, on ira encore plus en
prison. Et que d’ailleurs, ne pas revenir dessus est l’une des choses les plus
importantes du monde et de la France. Et si on évoluait encore ??
La nation, le patriotisme, c’est l’amour des siens, tandis que le
nationalisme, l’établissement de barrières entre les appartenances, c’est la
haine des autres. C’est le monde de la réfraction et des agressivités,
autorités, interdictions. C’est le contraire du monde des réconciliations. Or,
c’est purement chercher à renier des gens qui font état de quelque chose qui
aurait pu exister. Chercher à renier totalement l’existence d’une famille, en
réalité qui peut exister, qui a existé, qui a été une étape 1000% nécessaire
(les hommes préhistoriques), et dont la disparition n’est pas expliquée par la
nécessité évidente, servira couramment de poids aux adversaires, à juste titre
logique. Si on veut les critiquer, il faut mettre en doute leur bonne foi ou
expliquer par la raison à la source leur perte de bon sens. Ce besoin de les
critiquer est-il d’ailleurs aussi éternel que la constitution ? Est-ce un
problème psychologique irrémédiable ? Encore heureux qu’on ne parle pas de
l’égalité entre les hommes en termes de « soi-disant »
différence.
Un véritable principe, tel que décrit dans la première partie,
est que les différences innées, si on critiquait ce handicap, étant
insurmontables, et d’ailleurs parfois importantes, on ne serait pas altruiste,
et on profiterait sur le dos des autres de ce qui ne nous est pas dû (nos
qualités supérieures), on mettrait en cause la personne dans son intégralité,
dans son identité, et on ne pourrait pas être progressiste, contrairement au but
de la critique. Enfin… Dans quels cas une critique est-elle progressiste, et
dans quels cas ne l’est-elle pas ?
De plus, un handicap peut cadrer l’essentiel, cacher l’essentiel,
certains handicaps peuvent paradoxalement être exceptionnels dans certains
domaines, et à vouloir éliminer des formes de diversité, on élimine
régulièrement des phénomènes d’utilité exceptionnelle, qui, dans des cas alors
là extrêmement rares, peuvent sauver le monde. Dans la diversité se trouve
l’excentricité qui porte loin l’imagination des structures semi-cohérentes
possibles et souvent réutilisables. Des cohérences un peu sales.
Je viens de démontrer qu’en voulant nier l’existence possible de
races, la constitution est raciste. Une autre vision plus honorable existe, ce
serait qu’elle sous-entendrait qu’un principe imparable aurait égalisé l’homme
en un être à peu près uniforme.
Le seul principe connu à ce jour qui peut être à l’origine de
cela est Dieu, dont les religions affirment justement qu’il n’est pas pour rien
dans l’affaire, et on peut considérer que le comportement de préparer l’homme à
vivre sans grosses lacunes, sans grosses comparaisons inégalitaires, le rendre
égal en destinée, est un devoir que peut légitimement et logiquement se donner
Dieu.
Et donc, dans cette seconde optique, seule autre sous-entendu
possible de cette modification de la constitution, la constitution remercie Dieu
d’avoir effectué son travail, donc affirme son existence, son devoir, son
exécution, et l’intègre comme base solidement intéressante à la législation
française, qui dans ce sens, reconnaît la conformité des religions dans leur
logique à l’intervention citoyenne et l’appui de l’état sur ce socle, qui donc
ne devrait pas remettre en cause les droits et devoirs logiques de Dieu à
l’avenir.
Cette intervention propre et pratique de Dieu peut tout à fait
bien ne pas être niée, c’est bien un travail qu’on peut espérer de Dieu s’il
existe à partir d’une certaine capacité et assurance.
Bien sûr, il existe des formes de résistance bien plus
nécessaires que ceci. Mais cela rappelle qu’il faut beaucoup d’intelligence et
beaucoup de renvois de balle pour mettre au point les théories sur la sagesse,
et que les remises en cause sont de plus en plus difficiles.