sans titre 1
Effectivement, seuls l’éducation, les livres, la télévision, la
culture, la famille, les amis, les collègues interviennent dans l’apprentissage,
non seulement pour avoir un travail, mais aussi efficience sociale, anti-failles
et ‘anti-zones. La famille, les amis, les collègues s’abreuvant à ce même pis
culturel de base.
Dans le pur cadre annexe d’avoir découvert un livre, « Les lois
naturelles de l’enfant » qui démontre une réelle efficacité là où on en a
besoin.
Ainsi que le cadre non annexe, vous qui jurez par la
neuroprogrammation, je voulais au moins vous montrer la vraie voie de
l’efficacité réelle là où par rapport aux scanners de neurones en réalité j’ai
déjà bien empiriquement avancé dans le décodage de l’esprit humain dans mon
livre « Partage de la Compréhension Humaine », et un autre livre, qui permettent
de comprendre qu’il n’y a pas des règles de performance, mais des mécanismes,
généralement invisibles aux scanners, et des mécanismes de désintoxication des
principes de l’esprit. Plus que des mécanismes de régulation, qui peuvent
davantage faire rêver qu’être efficaces.
Et vous faire part d’une analyse des jeunes de banlieues, que
je vais appeler de nouveau « zones ».
Je n’ai rien à voir avec l’éducation nationale. Cet apport est
uniquement dans un but altruiste, dans le cadre de ma compétence reconnue en
logique et en suggestions, et hors du cadre d’une mission que je mène, hé oui,
avec Dieu. On peut considérer par contre qu’il y a un léger lien avec mon
inscription à En Marche.
Je souligne, de façon annexe, l’intérêt du livre « Les lois
naturelles de l’enfant ».
Céline Alvarez a quémandé l’éducation nationale afin de tester
les meilleures méthodes éducatives en maternelle. Ce n’est pas une énième
Montessori, elle a testé l’ensemble des méthodes pour lesquelles elle supposait
une efficacité potentielle, dont Montessori mais pas seulement, mais surtout,
elle a testé un nombre important de techniques, et a réalisé des démonstrations
fascinantes contre lesquelles on tombe convaincu et rassemblé des témoignages
incroyables.
C’est au départ de la vie que se structure le plus l’esprit.
Pour lutter contre les méfaits des individus, rien de mieux que d’optimiser le
résultat des écoles maternelles.
Mais ce livre, tout en étant innovant face au fonctionnement
actuel des écoles, est crédible, logique, efficace et riche d’idées d’éducation
qui sont aussi démontrées et rassemblées. Il n’y a plus qu’à suivre la doctrine,
ce dont a bien du mal l’éducation nationale, et, sur ce, cette femme propose
qu’on ne les attende pas pour changer de méthode, au sein des écoles, l’enjeu
est suffisamment important, le principe, bien que novateur, est évident, mais
cela reste beaucoup au regard de l’éducateur. Des méthodes qui arborent
puissance, facilité ou simplicité.
On y découvre effectivement que l’apprentissage a une grande
portée quand l’enfant s’investit dans ce qu’il aime au moment où il l’aime,
comme sait si bien le décrire avec des mots de démonstration Céline. Quand on
parlait de Montessori, il aurait fallu ne jamais confondre cet investissement
avec le plaisir, le gavage ou le divertissement. Et qui est différent aussi de
l’évitement de l’abstrait par un jeu.
On y découvre effectivement l’explication de l’auto-émulation
des élèves entre eux, d’âges mélangés. Céline décrit sa manière d’être
exigeante, ce n’est pas de l’autorité, sauf pour l’infraction volontaire, c’est
de la pertinence, de la persuasion par la détermination expliquée, toujours
logique, du respect des principes de l’être, et de l’intransigeance face à la
qualité de vie. Mais aussi, on y découvre l’intérêt de considérer les enfants
comme des êtres non inférieurs, juste moins forts, sur lesquels nous avons la
mission de fixer et de faire respecter les règles, vraiment. On cherche sans
retenue, avec amour à les comprendre, avec bienveillance et vraie entente,
d’égal à égal sur ce canal, une vraie écoute intéressée. On ne les reprend pas
aussitôt dans l’erreur, qu’il ne faut pas considérer comme une faute, mais comme
un appel à décider de façon autonome à mieux faire. Tout ceci est bien démontré.
Le résultat fut extraordinaire.
J’ai aussi écrit un livre ci-joint qui démontre avec beaucoup
de sous-ensembles l’importance de laisser une marge de manœuvre assurée
d’érotisme aux enfants. Dire que l’enfant doit aborder l’amour progressivement,
avec un érotisme d’abord systématiquement féminin et naturiste, c’est une chose,
mais il ne faut pas renier ni que les branches prioritaires de développement
rapide varient selon les enfants, ni prendre cette habitude généralisée des
quidams jusqu’aux médecins généralistes de parti-pris empirique
anti-scientifique et anti-freudien. Ce point de la doctrine de Freud n’est
pratiquement pas remis en cause par les spécialistes. Les enfants ont besoin au
minimum d’une vie mentale sexuelle, qu’ils nous cachent, qu’on se cache, dont on
ne veut pas se souvenir, et pour quelques-uns qu’il ne faut pas négliger du fait
du risque vital de névrose, ils ont besoin à l’occasion d’aller plus loin, une
loi ne peut invalider la logique de besoins anti-obsessionnels...
... Qu’un adulte ne peut se permettre d’assouvir pleinement,
mais je voulais aussi ouvrir l’esprit à d’autres domaines avec ce livre, tel que
les méthodes d’éducation tièdes et l’illogisme de tant d’agressivité imposée par
la justice. Et l’amour entre enfants qu’on veut ignorer, qu’on ne veut pas
clairement autoriser ou gérer dans la loi, au risque d’en faire une fixation
ségrégationniste.
Tel est le principe du livre ci-joint : « Le mécanicien adroit
des Premières Lunes Gauches », enfin terminé.
Il n’y a qu’en France qu’on a des banlieues spécialement
agitées. On voit bien qu’il n’y a aucune réflexion lorsqu’il y a mise en cause
de la justice, jamais la justice n’a été partiale sauf par erreur depuis bien
longtemps, lorsqu’il y a émeute à Nantes sans attendre la décision de justice,
lorsqu’on considère qu’un policier fait un affront quand il a l’impression,
justifiée sauf mise en cause possible, qu’il défendait un collègue. Emeute qui
se manifeste par des actes de colère sans légitimité, entraînés par une minorité
revendicatrice.
Une ‘colère’, ça devrait se manifester lors d’une perte de
maîtrise, maîtrise acquise par entraînement à savoir juger honorablement, dans
la logique, la sagesse et le bien-fondé.
On reconnaît à ces jeunes de banlieue une volonté politique,
mais un jugement des plus arbitraires.
A noter qu’on ne peut reconnaître non plus aucune légitimité
religieuse entre ces émeutes et leurs causes. Cette culture n’a rien de
légitimement ou véritablement musulmane. Comme enquêtait dans son livre « La
part du ghetto » Manon Quérouil, les ‘zones’ musulmanes jurent par la religion
sans s’y intéresser du tout, elles se cristallisent tout un système à partir des
règles de base, la question d’y croire n’est pas intéressante, c’est juste
qu’elles ont besoin d’une culture qui leur est propre et qui va avec leur envie
de revendiquer. D’autres suivent les préceptes de façon superficielle sans s’y
intéresser, sans logique, sans compréhension, comme une habitude.
Leur religion, ce sont plus les revendications alambiquées que
le culte. Ce sont plus les performances en postures hypnotisantes que le don de
soi. Cette énergie vient du fait que justement, ces comportements absorbent
beaucoup la culture du quartier qui tourne en boucle sur elle-même, la relation
avec l’autre, jusqu’à un contrôle de l’autre viral.
Ce qui fait tenir debout la religion terroriste aussi, ce sont
des techniques de contrôle mental auto propagées, qui pour beaucoup n’ont été
décidées par personne. Dans le genre, la religion du Dire est le principal
défaut social de la France. C’est en voulant se débarrasser de ces techniques
d’emprises que beaucoup ont voté renouveau. C’est en s’emportant à lutter contre
des régulations que certains régulent, et cela passe comme un suppositoire à la
glycérine.
Le paradoxe, l’intérieur, l’invisible, le comble, le leurre, la
manipulation, la honte, la faiblesse, la culpabilité, le tabou, la vérité
intérieure, l’opinion personnelle, l’entente sur un résultat, l’approximation,
l’appréciation, les absents, la compilation, la simplification, la formule et la
complexité sont travestissables. Ça fait peur : Les schismes nous dépassent.
Telle la pureté du barrage du Non.
Quelque chose manque, à ces zones qui se braquent face à leurs
propres invectives, qui ont peur au fond d’elles, qui en fait en rejetant
l’autre vivent un moment de vengeance où elles ont tendance à rejeter une partie
détestable de leur propre culture, issue et faite par la banlieue, qui a du bon
et du mauvais, qui ne pousse qu’à intérioriser et maugréer des invectives contre
les invectives et le marquage de territoire.
On ne doit pas lutter contre l’esprit réfractaire avec l’esprit
réfractaire. Il faut se poser, prendre du recul, et répondre par la fraîcheur et
le don de soi osé, simuler sans honte une application du connecteur fragile de
l’intimité à tous les vents pour donner du baume au cœur, même en banlieue.
L’insecte se protège par un scaphandre. Du renard à l’homme,
nombre de mammifères s’accueillent à fleur de peau par le don de joie sociale et
la paix en général. C’est de là dont on vient, cela reste ne serait-ce qu’une
pommade salvatrice.
Plutôt que de les laisser se boucher, il faut que l’état, la
justice, les artistes, l’entente publique, ouvrent et protègent à leurs
responsables respectifs toute cette panoplie à solutions que sont ces principes
de prévenance, de cosmétique, de tendresse, de pommade, d’argile, d’énergie, de
chaud, de moulage, de cristallisation, d’illumination, de cuvée, de curée,
d’empathie parmi les qualités qui sont au-dessus de la religion du Dire. Et le
sens des vraies richesses, le frisson des subtilités, l’honneur de la
transcendance, de la grâce et des bons effets.
Cassant un peu ces premiers principes, qui seront donc à
protéger, sur le pôle cartésien, il y a aussi les principes d’authentification,
d’aboutissement, de démonstration, de vérification, de correction, de
validation, de formation, de préformation mécanique (habileté), de verrouillage
sans enchères au bouclier.
Et de vérité, de vraie sagesse, de calme, de sens, de vraie
nature.
Et ne pas laisser se créer et s’entendre entre eux ces à-côtés
faussement informatifs, démonstratifs, scientifiques, religieux, moraux et
artistiques, idiots ou juste dits.
Je décris plus en détail cet écueil de manifestations de la
bataille de la représentation dans le brouillon 10 de mon livre « La religion du
Dire, Réflexe ‘Suspects Annotés’ », qui peut servir à s’ancrer dans cet univers
pour mieux le cerner, à mieux l’intercepter, ou à y ancrer un plan, que je n’ai
pas encore trouvé pour l’instant.
Si vous avez perçu des coïncidences étonnantes, comme un éclair
sur l’avion du Président le jour de son élection, ou le réacteur de Sarkozy qui
prend feu, ou une pluie uniquement sur Macron, après le Match de la coupe, c’est
parce que Dieu existe, et je travaille avec.
Jusqu’à maintenant, ma mission occupait principalement
l’activité de l’aider à mettre en place des filtres pour les futures intrusions
du média divin, ainsi qu’établir des dossiers dans les domaines suivants en
utilisant mes grandes compétences en analyse psychologique :
•
Détailler les composantes de l’esprit féminin, aventureux, général et le
bonheur des rencontres
•
Détailler les failles de l’esprit et de la société
•
Détailler le fonctionnement de l’art qui révèle
•
Expliquer Dieu aux hommes
•
Concocter avec lui des plans d’action
Il est clair que tant de coupes gagnées est aussi un message de
Dieu, contextuel, donc sans renier l’effort et l’efficacité de la réalité. C’est
un message de remerciement d’une réalisation positive qui m’est inconnue, c’est
une incitation à continuer, c’est une tentative de faire des cadeaux là où
arrivé au maximum de cadeaux, au maximum de muflerie, on voit qu’il y a pression
quand on n’a plus d’autre solution que de repasser à la pression négative.
Donc, Monsieur Macron, n’oubliez pas ce pour quoi vous avez eu
cette impression de ce à quoi était destiné ce cadeau, continuez dans votre
lancée, et évitez que maintenant Dieu fasse du débourrage désormais qu’il n’y a
pas beaucoup d’autres cadeaux possibles, autres que les belles œuvres, et que là
aussi certains services secrets ont engagé lutte contre Dieu.
J’ai été lié à bien des démantèlements de travail complotiste
par Dieu par l’intermédiaire de débourrages, j’espère l’être aussi positivement,
mais ici je n’ai pas l’information. Je suppose que votre pensée profonde est le
message, ce qui arrive souvent, parfois en multiplexe de raisons.
Ci-joint un
nouveau document, « Je fais répondre mon organisation humaine à ces questions
stratégiques », de lecture de moindre importance, qui classifie ma relation avec
une organisation, secrète car utilisant des moyens dont on ne veut pas livrer
actuellement la connaissance à tout le public, la lecture et diffusion dans la
tête à distance. Cette organisation s’intéresse sans doute à moi à cause de ma
relation avec Dieu, et vu la qualité de ma prestation mentale, la diffuse auprès
de beaucoup de VIP, particulièrement dans les directs de la radio et de la télé,
ce qui leur fait un retour apte à bien travailler.
Ci-joint un
document « Vérifier les accusations des journalistes contre OH pulpe d’activité
encore néfaste contre moi » qui indique des dangers mis en place dans la main de
cette organisation humaine, qui mène le monde au hasard d’une machine à décréter
étrangère.
Dieu a
besoin que cette organisation humaine puisse réaliser sa mission de permettre à
Dieu ainsi qu’à moi dans son sillon de servir les français, car ce n’est ni un
parti ni un parti-pris, mais un outil à solutions avec une philosophie, avec le
pouvoir de vous informer autant que nécessaire, ainsi que mener ses missions de
communication et de coopération avec les responsables, sans pression, sans mise
en danger, et malgré les divergences, dont son financement, il faut savoir que
Dieu a en main une défense qui vous est toute due et qui vous est inimitable
(contre les projections des intrus du média divin). Aussi un outil du futur qui
permette de ne pas se tromper, qui engage.
Ils ont
moyen de déterminer que beaucoup de toute ma description de ma relation avec
Dieu est soit vrai soit probable, il leur faut les moyens de vous informer, et
cela remet en cause mon suivi mis en place par mes parents, dangereux dans mon
cas.
Pour ma
part, que je reste développeur ou pas, Dieu s’attache surtout que je puisse
pleinement être développeur de la vie particulièrement par son intermédiaire,
sans blocage artificiel, contre lesquels il luttera toujours immodérément.
Avec mes remerciements pour votre attention, je vous prie
d'agréer, Monsieur le Ministre, l’assurance de mes sentiments les meilleurs.