L'écologie sociale, oubliée d'Emmanuel.

Emmanuel dit que le deuxième chantier sera celui de l'éducation et de la culture. Tout ce qu'on voit dans le sous-titre de ce chantier, c'est qu'il veut intégrer davantage de culture dans l'éducation. Ce n'est pas suffisamment crédible cela !! C'est quand même le deuxième chantier, selon lui !
Effectivement, il y a à faire en ce domaine, la culture est une grande source de travail en France, l'éducation, une grande source de correction d'erreurs parmi tous les effilochages psychologiques causes de nombreux maux principaux dans le monde entier, et la télé, la principale culture populaire, la principale source journalistique, troisième activité principale de la journée, est le meilleur moyen de toucher les personnes qui ont terminé l'éducation ! Avec les moyens de ne pas les trahir, si on se les donne, ce n’est pas difficile ! Aucun candidat n’est jugé comprenant bien le quotidien des gens.
Je voudrais aussi que Macron pense aussi à l'écologie sociale. Il y a de ça dans les attentats, dans la prison qui aboutit à la prison, l'idée de barrières pour protéger les barrières, les jeunes de banlieues qui se braquent parce qu'ils ont peur d'eux-mêmes, la stratégie psychologique qui est devenu le job secondaire d'un français sur deux, car à l'écoute des coach télévisés dont font parti certains anciens partis. On peut punir, on peut empêcher, on peut retenir, mais on peut aussi guider, pousser. Nicolas Hulot est un spécialiste en ce domaine.
La tolérance, c’est un bon principe, mais pour la moitié de l’intolérance ethnique, la moitié de l’intolérance religieuse, la moitié de l’intolérance handicap, c’est un travail d’efficacité identique et homogène qui est à faire. Mais surtout, la tolérance peut se transposer en arc de cercle aux présciences motrices féminines, que j’appelle aussi éléments de l’esprit aventureux. On peut ainsi parler d’efficacité lorsqu’il s’agit de tolérance, d’appréciation lorsqu’il s’agit de bienveillance, d’aiguillons lorsqu’il s’agit de personnalité et de bon sens lorsqu’il s’agit de singularité.
Il y a des risques de cercle vicieux de dénaturation de l'être humain. Génétique, pas immédiatement, mais surtout, ce serait parce que la manipulation serait tellement devenue une science qu'on risque d'entrer dans des cercles vicieux d'appauvrissement intellectuel. Sans intelligence, sans intégrité, c'est pire que tout. Et sans intelligence, l'humanité va moins loin que sans écologie de la nature.
L'écologie sociale, c'est aussi la solution à notre nouveau problème. Plus il y a de retraités, donc de personnes d'avant 68, mais aussi moins il y a de risque de rencontrer une personne étrange, plus on vote Marine Lepen. Plusieurs phénomènes en solution. Le calme contenu du stylo et de la strophe contre l'agressivité de la catastrophe, mais aussi compréhensivité généralisée grâce à une transmission très puissante de vraies richesses, ainsi qu’appréciation de la dimension imperfection (dans le film Interstellar, la poussière vient compenser (à la perfection ?!?) la maladie du mildiou, tenue par une astreinte folle hors du blé sain. Ce n'est pas de la science-fiction quand le gouvernement a décidé de tuer tous les canards d’élevage pour éviter la propagation d’une maladie. C'est très français, ça. La vie, ce ne sont que des histoires d'ambivalences en écosystèmes. C'est toujours bon de retenir les histoires du futur. Ça permet aux choses d'évoluer. Que dis-je, aux êtres aussi, bien sûr ! ! C'est l'évidence même !).
L'ambivalence, la dimension imperfection, ça veut dire que ce n'est pas d'un fichier plat ou de grandes lignes réorganisatrices sur un tableau noir qu'a décollé la vie. La vie, c’est une tambouille auto-générable qui mijote et qui fait des petits, puis un jour qui se permet de prendre la main sur le contrôle des défauts.
Les autres candidats non négligeables, sauf un, c'étaient des candidats à anti-problèmes. Pas à solutions, j’entends approche fonctionnelle, concrète.
Version 1 du 9-5-2017

Print | posted on Thursday, July 5, 2018 9:01 PM

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