Le
principal n’est pas le bout. Ce n’est pas de l’Ordre des
préoccupations.
Mon livre « Le mécanicien adroit des Premières Lunes Gauches »
démontre avec beaucoup de sous-ensembles l’importance de laisser une marge de
manœuvre assurée d’érotisme aux enfants. Dire que l’enfant doit aborder l’amour
progressivement, avec un érotisme d’abord systématiquement féminin et naturiste,
c’est une chose, mais il ne faut pas renier ni que les branches prioritaires de
développement rapide varient selon les enfants, ni prendre cette habitude
généralisée des quidams de le renier jusqu’aux médecins généralistes de
parti-pris empirique anti-scientifique et anti-freudien. Ce point de la doctrine
de Freud n’est pratiquement pas remis en cause par les spécialistes. Les enfants
ont besoin au minimum d’une vie mentale sexuelle, qu’ils nous cachent, qu’on se
cache, contrairement aux mails que vous pouvez recevoir, dont on ne veut pas se
souvenir, et pour quelques-uns qu’il ne faut pas négliger du fait du risque
vital de névrose, ils ont besoin à l’occasion d’aller plus loin, une loi ne peut
invalider la logique de besoins anti-obsessionnels ; qu’un adulte ne peut se
permettre d’assouvir pleinement, mais je voulais aussi ouvrir l’esprit à
d’autres domaines avec ce livre, tel que les méthodes d’éducation tièdes et
l’illogisme de tant d’agressivité imposée par la justice, la peine et les
couches sociales quand elles ne veulent pas différencier absence et présence
d’envie. Et l’amour entre enfants qu’on veut ignorer, qu’on ne veut pas
clairement autoriser ou gérer dans la loi, au risque d’en faire une fixation
ségrégationniste.
Ce livre est là pour apporter informations, arguments, décodage du
véritable fonctionnement de l’être humain, je revendique la vérité par ce biais,
mais sans vous l’imposer, il faut respecter sa probabilité, et ses
improbabilités gérées. L'onctueux, c'est la tendresse, le printanier, et la
grâce à la fois.
Le bonheur n’est pas souscrit mais prescrit, ici, et non pas dans
ses termes directs. Ce livre parle plutôt de la thérapie par la grâce et la
tendresse dont le fonctionnement transite par du plaisir, effectivement, mais
aussi des fréquences, et des fréquences adoucissantes, contrairement au plaisir
pur. Sans que ce soit le but du but, car il s’agit de basculer ensuite dans
l’intérêt des outils, des opérations de l’esprit, la tolérance et l’acceptation
de l’imperfection et d’un plaisir des structures et parcours abstraits, entre
beaucoup d’autres.
5
points entourant le principe de l’onctueux abordés dans ce livre
:
1.
Il y a la nécessité
d’un environnement acceptant toutes les pensées et expressions pour les enfants,
et pour que leur assouvissement ne soit pas invasif, ni devenir une obsession
par leur manque, il y a très souvent des astuces possibles. D’où leur intérêt
soi-disant paradoxal pour des films pornographiques, il faut l’avouer inadaptés,
j’ai décrit dans mon livre ce que j’ai trouvé
d’adapté.
2.
Les astuces ne pourront
être intégrées qu’avec la sérénité retrouvée du peuple français, par
l’intermédiaire de médias et des comédies qui tireront et présenteront la
substance logique réelle des comportements avec des preuves, au moins par
entendement.
3.
Dans ce sens, il serait
bon pour le moral, la projection dans la sérénité et la sagesse, qu’on accède, à
la télé, dans les films, aux couches premières de cet état onctueux, tendre,
grâcieux, crème comme la peau, après le principal, le rouge de l’amour. C’est un
domaine abordé dans ce livre.
4.
Il y a une
déliquescence de l’entente sociale et de l’agressivité parce qu’on ne partage
pas la compréhension des concepts intègres, riches et enrichis, et même une
source de dépendance à l’irritation, qui s’auto-valide, s’autoenrichit, s’auto-propage et qui
boucle. Il y a une allergie au malléable, une ségrégation liée à l’esprit
réfractaire.
5.
Le principe de tabou
réalise un camouflage généralisé des vérités les plus audibles par la majorité
du peuple sur le sujet, les moins audibles par les réfractaires, les
associations et ceux qui se font emmener par leurs dossiers. Tronquant ainsi les
informations, leurrant les scientifiques, et donc désintégrant les études
honorables sur le sujet, et invalidant la réalité d’un quelconque résultat
réellement scientifique en ce domaine. Il est intolérable de ne pouvoir mener à
bien l’indépendance scientifique, d’autant qu’on se fait croire avoir les
tenants et les aboutissants scientifiques.
6.
C’est vrai que parler
de sa vie est primordial. Les parents et les enfants se rencontrent 10 fois par
jour, et on peut voir par-ci par-là que médiatiquement des types de cas
fréquents ne sont pas entendus, on fait de l’anti-scientifisme, s’il y a 1
enfant sur 5 qui a vécu quelque chose, c’est bien parce qu’à tant se croiser, en
quantité, il arrive parfois des choses, de façon humaine, qu’il existe beaucoup
d’enfants en quantité qui vivent quelque qu’ils aiment, ce n’est pas qu’il
faille l’inciter ou les excuser d’avoir risqué, mais on se cache à fond les
manettes les cas de relation de qualité, et que sans intérêt particulièrement
chez les enfants pour aboutir la relation, cela ne doit pas faire spécialement
comme une peur obnubilante, fait ou pas fait, mais surtout il faut que ne pas en
parler ne reste pas logique, particulièrement de toutes les versions
intermédiaires, et donc que ce soit plus accepté que honni, qu’ils puissent être
appréciés sans que certains cherchent le scandale, car de plus c’est le centre
du ‘ne pas en parler’.
7.
Sinon, avec la
connaissance par les réseaux sociaux qu’on a, avec les mesures pro-délation,
avec les nouvelles techniques d’influence jusqu’à l’endoctrinement ‘religion du
Dire’ qui font que l’esprit, quand il est face à n’importe quelle problématique
de conduite, voit d’abord la question judiciaire ‘comment vais-je en parler
quand je serais témoin’, il efface toute trace de conduite imperfectible
tolérée, il est poussé vers la pureté des conduites parfaites et rachitiques,
100% dans le langage mental du ‘ce qu’on en dira’, il est bon que le plus grand
point d’obnubilation ne soit pas éclaté au cri écarlate parce qu’il reste
toujours des traces et des traces de ce qu’on veut se faire étiqueter uniquement
ce sens.
8.
Soupesée, cette
multi-problématique
dont le centre est onctueux mais dont les branches sont indépendantes est la
plus haute de toutes les problématiques, même s’il n’y a pas de dépassement
improbable.
Il faut que le gouvernement en prenne conscience, j’ai élaboré ce
dossier avec le niveau de démonstration le plus optimal que j’ai pu trouver, il
n’y a pas de doute que la nécessité est qu’un jour, au plus tôt avant la
vitrification des grandes évolutions psychologiques, le gouvernement accepte de
ne plus accepter l’anti-scientifisme et de comprendre qu’une cristallisation
pro-aveu, pro-acceptation, pro-intégration de la partie tendre et gracieuse se
conçoit comme critique et criante
d’importance.
On comprend qu’on ne peut pas se dire : Super, ça c’est un
tabou Supérieur, quand on atteint un tel bout du tabou, c’est ça qui est super,
tout le monde est super-serein, jamais un
affrontement !
Sinon, un quidam ne pourra pas se vendre contre une science sans le
sang ou le bourrage divin, même si cette science est étouffée, heureusement, je
suis défendu par Dieu.
Ceci pour lutter contre les traumatismes des gens du futur, qui
s'appuient tous sur le renforcement et la mise à profit, volontaire ou
involontaire, de toutes les failles techniques possibles de l’esprit,
particulièrement l’esprit éruptif d’énervement face à la maladresse de son
esprit cartésien, la cacophonie tétanisant en tous sens engendrée par la
promotion des effets de communication invasifs, irrespectueux des contrats
naturels de l’esprit, et de nombreux autres numéros d’auto-schismes de l’esprit
mauvais à écouter, particulièrement poussés et tournés en cercles vicieux par la
profusion de la technologie à faire remonter des informations dans le temps, que
de nombreux états ont eu l’idée de faire tourner en boucle avec apprentissage
machine sur une foison de big-datas dans le désordre, là où les vrais Grands
Dieux, eux, ne travaillent pratiquement qu’en programmation objet du monde, avec
des outils d’auto-programmation.
Et autres pertes d’intégrité, illusionnismes cassants,
mécanisation, professionnalisation et occultation du faux et du
mensonge.
Ce livre n’est pas un livre à charge ou à produit d’un domaine, son
but est de décoder les principes, le vrai et le faux sur ces 3 problématiques,
de façon indépendante, sincère et experte. Les pôles criminels incluant entre
autres une branche commune avec ces domaines ont une mauvaise conscience qui
s’analyse séparément, qui se traite et qui n’est pas lié au sujet du livre, bien
qu’analysés à la fin, à charge et à produit.
Il
serait intolérable que l’ensemble du monde instruit se garde de transmettre des
pans de sagesse détectés non instruits par pur pression scandaleuse du reste du
monde, qui se ferait avoir par des mécaniques spirituelles qui s’aimantent
toujours vers les mêmes frictions imaginaires et
contre-intégrité.
Par
exemple, j’ai été renvoyé d’une mission pour avoir offert un exemplaire de ce
livre (en version brouillon). En même temps, des gars de cette mission jugent le
livre honorable. Disons-le, c’est surtout affaire d’incompatibilité de monde.
S’il y a des conclusions à porter, c’est qu’il ne faut pas laisser pousser à
croire que c’est le monde stérile et cartésien le vrai monde, le monde normal,
qui explique les choses qui sont normales, que tout le monde fait, et celles qui
ne le sont pas, ce qui ne se fait
pas…
Depuis quels
philosophes ne peut-on pas avoir une intime conviction de ce qui est normal et
de ce qui ne l’est pas, fonction de la logique, anciennement c’était beaucoup
fonction de la morale, et désormais fonction du on-dit et des réflexes ‘Suspect
Annoté’ ?